Dans les prochaines semaines, une flamme sera visible dans le secteur Seveso au port de Brest. Cette flamme est le résultat d’une opération de torchage menée par Primagaz sur son site récemment fermé. Il est important de noter que cette flamme n’a aucun lien avec la flamme olympique.
L’opération de torchage, qui a commencé ce lundi 29 juillet, consiste à brûler de manière contrôlée les résidus de gaz à l’air libre. Bien que cette opération puisse paraître spectaculaire, elle est courante et maîtrisée dans l’industrie du gaz. Elle est réalisée en toute sécurité par du personnel formé et qualifié, sous la surveillance constante des équipes de Primagaz et en conformité avec les normes en vigueur.
Primagaz France a informé les habitants et les sociétés du port de Brest qu’une opération de torchage de son site est prévue entre le 29 juillet et la fin août. Cette action se traduira par la présence d’une flamme totalement inoffensive pour la santé des habitants et des intervenants sur le port. Son impact sur l’environnement est très limité.
La fermeture du site de Primagaz à Brest est désormais effective. Il faut maintenant brûler, de manière contrôlée, à l’air libre, les résidus de gaz. La cellule de communication de Primagaz rassure que cette opération est courante et maîtrisée dans l’industrie du gaz.
Cette opération, va s’étaler jusqu’à fin août. Elle est réalisée en toute sécurité, par du personnel formé et qualifié, sous surveillance constante des équipes de Primagaz et en conformité avec les normes en vigueur.
La fermeture du site brestois de Primagaz a entraîné la suppression de 68 postes. Le directeur des opérations de la société, Jérôme Villeneuve, a expliqué en mars que le site serait dégazé et démantelé. Les sphères de béton seront probablement déconstruites.
Bien que la présence de cette flamme puisse susciter des inquiétudes, il est important de rappeler que cette opération est courante, maîtrisée et réalisée en toute sécurité. Elle est menée par du personnel formé et qualifié et en conformité avec les normes en vigueur.